lundi 20 février 2012

Et voici comme convenu la présentation par lui-même du prince demi-démon plus connu sous le nom du bourreau de Clëmh: Amond Cyriel, capitaine du navire la vierge de nacre et meilleur épéiste du royaume de Valérya. Mais je me tais et le laisse s'introduire pour votre plaisir chers lecteurs. J'espère qu'il comblera vos attentes car c'est un personnage ... très important pour l'histoire, mais je n'en dis pas plus.


        Le principal trait de mon caractère : Colérique.

-La qualité que je préfère chez un homme : La rage du combat.

-La qualité que je préfère chez une femme : L'imagination dont elle fait preuve au lit.

-Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : Qu'il n'essaye pas de me poignarder pas pendant la nuit.

-Mon principal défaut : Colérique.

-Mon occupation préférée : Livrer bataille.

-Mon rêve de bonheur : Arriver à me dominer.

-Quel serait mon plus grand malheur : Que mon destin soit scellé à l'avance.

-Ce que je voudrais être : Un homme normal.

-Le pays où je désirerais vivre : Sur la mer, n'importe ou mais sur la mer.

-La couleur que je préfère : Le bleu.

-La fleur que j'aime : Les algues, je sais, ce ne sont pas des fleurs, mais bon, j'avais que ça en réserve.

-L'oiseau que je préfère : Le pélican, parce qu'il est utile aux marins.

-Ce que je déteste par-dessus tout : Les couards.

-Le don de la nature que je voudrais avoir : être naturel.

-Comment j'aimerais mourir : Au combat.

-État présent de mon esprit : Chaotique, en proie à des envies de meurtres.

-Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : Aucune car je suis sans pitié.

-Ma devise : Une seconde est le temps qu'il suffit à un homme pour donner la vie, ou pour la reprendre.

un petit extrait du chapitre 7

Et en prime un petit extrait de mon septième chapitre, j'avance lentement mais sûrement au moins. Espérons que ça dure. Au rythme d'un chapitre par semaine je devrais largement avoir fini mon challenge d'ici la fin de l'année si ce n'est avant avec un peu de chance.

L’odeur de la mer emplit les narines des deux compagnons. Le prince médita sur les paroles d’Anase. Le Poignard Pourpre, il ne manquait plus que ça, songea le Phénixien perdu dans ces pensées. Ça commence à se corser.
— Où on va maintenant ? La question l’extirpa de ses rêveries. Baat le dévisageait d’un air perplexe.
— Et bien, il nous faudrait idéalement trouver un navire et un capitaine susceptible de bien vouloir nous mener le plus loin possible vers le sud. Plus nous nous rapprocherons d’Ad Avor-häl mieux ce sera. Mais encore faudrait-il trouver un capitaine assez peu regardant pour nous faire embarquer de manière clandestine et passer sous silence toute interrogation concernant notre traversée jusqu’aux contrées du sud.
— Et pourquoi pas lui ? Répliqua le garçon en pointant un navire où la figure de proue était sculptée de telle sorte à ressembler à une gueule reptilienne grande ouverte. Les mâts rouge sang ne dirent rien qu’y vaille au prince, mais il semblait que la troupe de marins à son bord lui semblait assez peu regardant sur la marchandise. En interpellant un marin de passage, il le questionna sur le vaisseau en question.
— Excusez-moi mon brave, mais pourrais-je savoir qui est le capitaine de ce navire ? Et ce qu’ils transportent ?
— ça, c’est la Vierge de nacre, le plus grand trois-mâts de tout Valérya. Il a pas pris le large depuis plusieurs mois, ouaip, ça fait un bail qu’il mouille à quais. Si vous voulez mon avis, le capitaine serait comme qui dirait un démon venu de l’Outre-Monde pour ourdir un plan contre le consul. Que d’la mauvaise graine, enfin moi c’que j’en dis hein !
Le prince laissa partir le marin sans rien ajouter et esquissa un large sourire. C’est exactement ce qu’il nous faut, pensa Teleth alors qu’il se dirigeait d’un pas sur en direction du vaisseau.

 

J'espère que l'extrait vous aura plu, et bientôt vous pourrez avoir un aperçu sur un nouveau personnage, un épéiste demi-démon, alors frémissez mortels !

mercredi 8 février 2012

Un personnage qui me tient à coeur

Je tiens tout particulièrement à vous présenter un personnage qui me tient à cœur. Il s'agit du prince Phénixien Teleht Valis. Pourquoi un tel personnage a une si grande importance pour moi, et bien tout simplement parce que c'est un personnage qui a une philosophie vers laquelle j'aimerai tendre. Bien qu'étant l'acolyte du vrai héros Ydan Draneth, il n'en demeure pas moins un des héros principaux de l'histoire et il saura vous réserver quelques surprises. Je vous laisse se présenter pour que vous cerniez un peu mieux le personnage:



        Le principal trait de mon caractère : Téméraire et curieux.

-La qualité que je préfère chez un homme : La sagesse et la connaissance.

-La qualité que je préfère chez une femme : Pareil que chez un homme.

-Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : Qu'ils soient différents de moi.

-Mon principal défaut : Trop curieux.

-Mon occupation préférée : Lire et chanter.

-Mon rêve de bonheur : Devenir ménestrel ou troubadour et arpenter les routes du monde entier pour découvrir les affres de l'univers.

-Quel serait mon plus grand malheur : être enfermé dans une cage et ne plus jamais pouvoir en sortir.

-Ce que je voudrais être : Un oiseau pour la liberté de voler.

-Le pays où je désirerais vivre : Partout.   

- La couleur que je préfère : L’orange.

-La fleur que j'aime : L'épine du désert.

-L'oiseau que je préfère : Tous.

-Ce que je déteste par-dessus tout : être enfermé.

-Le don de la nature que je voudrais avoir : Pouvoir voler.

-Comment j'aimerais mourir : En ayant le sentiment d'avoir accompli une vie en ayant été le seul maître de mes choix.

-État présent de mon esprit : Serein et posé.

-Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : Je suis indulgent de nature car c'est en commétant des erreurs que l'on peut se corriger et apprendre.

-Ma devise : Vois la vie comme un second souffle qui t'apprend chaque jour à porter un regard nouveau sur ton existence.


chapitre 6

Après avoir bien entamé mon chapitre 6, et j'en suis à plus de la moitié, je vous soumet un nouvel extrait qui je l'espère, vous satisfera. Il s'agit d'une entrevue entre Le Purgateur, l'homme lige du consul de Valérya, qui tente de recruter Amond Cyriel, le meilleur épéiste de toute les Terres-libres, dans une mission qui pourrait s'avérer périlleuse. Je ne vous e dit pas plus et je vous laisse savourer l'extrait.


— Quoi ? Beugla le guerrier en époussetant les ordures qui parsemaient son visage.
Il devait cuver son vin depuis un bon moment, car même à cette distance, le Purgateur sentit les relents d’alcool qui venait jusqu’à lui. L’homme au sol se releva péniblement. Il surplombait de loin le prêtre et le dépassait de plus de deux têtes. Une corne proéminente seyait sur son front et retint toute l’attention de l’homme lige. L’épéiste rabattit ses cheveux longs et noirs sur le côté et réajusta son pourpoint vermeil. Lorsqu’il jeta son regard sur le prêtre, son iris blanc glaça le sang du prêtre tandis que le noir le pétrifia davantage. L’homme lige détestait ce regard, il avait l’impression d’être jugé par ces yeux, que son âme était mise à nue et qu’il n’avait nulle part ou aller pour se cacher. Si le guerrier était considéré comme le meilleur épéiste de toutes les Terres-Libres, c’était en partie à cause de la réputation qui avait été forgée à propos de ces lames. Au même titre que ces yeux, l’une luisait d’une aura blanche, tandis que l’autre irradiait d’une lueur sombre et ténébreuse. Ses lames étaient sa fierté, et aussi la source de son immense pouvoir. Mais, il était aussi connu pour une tout autre affaire, en tant que régicide, il avait écopé de ce titre peu glorieux lorsqu’il ôta la vie du dernier roi Valéryen :, Dénébris Valtourbe, il y a plus de deux siècles. Ses lames étaient sa fierté, et aussi la source de son immense pouvoir. En outre, une large balafre coupait son visage en deux et lui donnait des airs de démon. Ce n’était pas pour rien qu’on le surnommait : le bourreau de Clëmh. Lorsqu’il ouvrit la bouche, quatre rangées de crocs dépassèrent de sa mâchoire. Un sourire malsain irradia son visage et il se lécha les babines d’un air pensif. À la lumière, la teinte de sa peau tirait sur le rouge, fait assez singulier pour un Cyvissien de souche. On le disait démon, mais il n’était plus que l’ombre de lui-même. Le grand guerrier était mort depuis ce funeste jour ou il ôta la vie de son propre roi.