dimanche 4 mars 2012

un petit extrait du chapitre 8

Un petit extrait du chapitre 8 qui devrait s'avérer être un tantinet plus long que les autres.
La petite discussion entre Cyriel et le prince commence à prendre de l'envergure et le prince commence à cerner le personnage.

 
— Ne prêtez pas attention à l’austérité de Nahïm, elle n’en a pas l’air comme ça, mais elle est moins dure que le roc. Éluda l’épéiste.
— Vous cohabitez avec des Banshees ?
Le prince était plus surpris qu’indigné, mais son visage disait le contraire.
— Nous ne cohabitons pas avec elles. Le groupe de Banshees qui nous accompagnent compose mon escorte personnelle.
— Je vous demande pardon ? Vous n’êtes pas sans savoir que les Banshees sont des créatures de l’Outre-Monde.
— Ou voulez-vous en venir prince ?
— Les Banshees haïssent par nature les gens de la surface.
— Pas celles-ci croyez-moi. Elles connaissent notre monde et m’ont été d’un grand secours à maintes reprises. J’ai toute confiance en elle, et malgré vos simagrées, vous ne changerez pas les habitudes sur mon navire tant que je commanderai.
Sur ces derniers mots, Cyriel soutint le regard du prince d’un air menaçant avant que le Phénixien ne baisse les yeux d’un air égaré.
— Je ne voulais pas remettre en doute votre autorité si c’est ce que vous redoutiez capitaine.
Elles sont des meurtrières assoiffées de sang qui prient les divinités du chaos, pauvre fou, si tu crois pouvoir t’en faire des alliés tu te trompes, songea le prince en déguisant habilement ses pensées. 

J'ose espérer que la lecture vous aura plu ...

La lignée des rois

A défaut d'un nouvel extrait par manque de temps, je vous propose de consacrer ce message à la lignée des rois Valéryens.


Il faut savoir que dans toute l'histoire de Valérya, il y a toujours eu 1 rois pour 1 consul, suppléant au travail du roi et conseillers de ce dernier.
 Et voici la liste complète des rois Valéryens et des consuls qui les ont suppléés:
-Trestan Mornepic/Elendeth Tanhüm.
-Malthör Rieupont/Dol'Alamènh.
-Idilteh Eauxcalmes/Hadalan Teodec.
-Ragnär Hautval/règne sans consul.
-Dénébris Valtourbe/Amond Cyriel.


 il faut savoir que le roi ne contrôle pas que les provinces Valéryennes, il contrôle toute les Terres-Libres, ce qui équivaut à un continent entier et plusieurs royaumes et autres rois qui lui ont prêtés allégeances. En ce qui concerne les consuls, ils sont tous des émissaires qui font entendre la voix de leurs peuples (nains, elfes, Phénixiens, élémentains) tous peuvent communiquer par le biais du Cyvissien (langue des hommes, mais langue commune aussi) et reconnaisse la légitimité de la souveraineté du roi. C'est ce qui fait son pouvoir et le fait que le roi puisse bénéficier d'allié en temps de guerre de part la ratification d'anciennes alliances ainsi que du commerces actif entre les différents pays des Terres libres par le biais de traités commerciaux précédemment ratifié pour le profit de chaque signataire.

Voilà, il faudra donc attendre encore un peu avant de pouvoir lire un nouvel extrait, mais patience, ça ne saurait tarder.

lundi 20 février 2012

Et voici comme convenu la présentation par lui-même du prince demi-démon plus connu sous le nom du bourreau de Clëmh: Amond Cyriel, capitaine du navire la vierge de nacre et meilleur épéiste du royaume de Valérya. Mais je me tais et le laisse s'introduire pour votre plaisir chers lecteurs. J'espère qu'il comblera vos attentes car c'est un personnage ... très important pour l'histoire, mais je n'en dis pas plus.


        Le principal trait de mon caractère : Colérique.

-La qualité que je préfère chez un homme : La rage du combat.

-La qualité que je préfère chez une femme : L'imagination dont elle fait preuve au lit.

-Ce que j'apprécie le plus chez mes amis : Qu'il n'essaye pas de me poignarder pas pendant la nuit.

-Mon principal défaut : Colérique.

-Mon occupation préférée : Livrer bataille.

-Mon rêve de bonheur : Arriver à me dominer.

-Quel serait mon plus grand malheur : Que mon destin soit scellé à l'avance.

-Ce que je voudrais être : Un homme normal.

-Le pays où je désirerais vivre : Sur la mer, n'importe ou mais sur la mer.

-La couleur que je préfère : Le bleu.

-La fleur que j'aime : Les algues, je sais, ce ne sont pas des fleurs, mais bon, j'avais que ça en réserve.

-L'oiseau que je préfère : Le pélican, parce qu'il est utile aux marins.

-Ce que je déteste par-dessus tout : Les couards.

-Le don de la nature que je voudrais avoir : être naturel.

-Comment j'aimerais mourir : Au combat.

-État présent de mon esprit : Chaotique, en proie à des envies de meurtres.

-Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence : Aucune car je suis sans pitié.

-Ma devise : Une seconde est le temps qu'il suffit à un homme pour donner la vie, ou pour la reprendre.

un petit extrait du chapitre 7

Et en prime un petit extrait de mon septième chapitre, j'avance lentement mais sûrement au moins. Espérons que ça dure. Au rythme d'un chapitre par semaine je devrais largement avoir fini mon challenge d'ici la fin de l'année si ce n'est avant avec un peu de chance.

L’odeur de la mer emplit les narines des deux compagnons. Le prince médita sur les paroles d’Anase. Le Poignard Pourpre, il ne manquait plus que ça, songea le Phénixien perdu dans ces pensées. Ça commence à se corser.
— Où on va maintenant ? La question l’extirpa de ses rêveries. Baat le dévisageait d’un air perplexe.
— Et bien, il nous faudrait idéalement trouver un navire et un capitaine susceptible de bien vouloir nous mener le plus loin possible vers le sud. Plus nous nous rapprocherons d’Ad Avor-häl mieux ce sera. Mais encore faudrait-il trouver un capitaine assez peu regardant pour nous faire embarquer de manière clandestine et passer sous silence toute interrogation concernant notre traversée jusqu’aux contrées du sud.
— Et pourquoi pas lui ? Répliqua le garçon en pointant un navire où la figure de proue était sculptée de telle sorte à ressembler à une gueule reptilienne grande ouverte. Les mâts rouge sang ne dirent rien qu’y vaille au prince, mais il semblait que la troupe de marins à son bord lui semblait assez peu regardant sur la marchandise. En interpellant un marin de passage, il le questionna sur le vaisseau en question.
— Excusez-moi mon brave, mais pourrais-je savoir qui est le capitaine de ce navire ? Et ce qu’ils transportent ?
— ça, c’est la Vierge de nacre, le plus grand trois-mâts de tout Valérya. Il a pas pris le large depuis plusieurs mois, ouaip, ça fait un bail qu’il mouille à quais. Si vous voulez mon avis, le capitaine serait comme qui dirait un démon venu de l’Outre-Monde pour ourdir un plan contre le consul. Que d’la mauvaise graine, enfin moi c’que j’en dis hein !
Le prince laissa partir le marin sans rien ajouter et esquissa un large sourire. C’est exactement ce qu’il nous faut, pensa Teleth alors qu’il se dirigeait d’un pas sur en direction du vaisseau.

 

J'espère que l'extrait vous aura plu, et bientôt vous pourrez avoir un aperçu sur un nouveau personnage, un épéiste demi-démon, alors frémissez mortels !